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La campagne des européennes est lancée ! 

L’actu du 13 mai 2019 /

Ce lundi, commence en France la période officielle de campagne pour les élections européennes. Une période durant laquelle les activités des candidats sont hautement encadrées. 
 
Avec un nombre record de 34 listes pour ces élections 2019, les candidats à la fonction d’eurodéputé doivent multiplier les opérations de communication s’ils veulent se faire entendre. A côté des traditionnels meetings politiques sur le terrain, plusieurs supports peuvent leur servir à diffuser leurs messages et programmes électoraux. 
 
La radio et la télévision d’abord. 
Les différentes listes vont diffuser des spots vidéos et tenter de faire inviter leurs candidats sur les télévisions et radios. Cependant les temps de parole y sont très contrôlés . En France, c’est la mission du Conseil supérieur de l’Audiovisuel (CSA). Les nouvelles règles de juin 2018 modifient le calcul de ces temps d’antenne. Lors des dernières élections, les partis représentés au Parlement français se répartissaient deux heures d’émission. Les autres formations sans groupe parlementaire se partageaient une heure d’émission, sans que chacune ne dispose de plus de cinq minutes. Désormais, une durée forfaitaire de trois minutes a été attribuée à chaque liste. En plus de ces trois minutes, deux heures sont à répartir en fonction du nombre de parlementaires et d’eurodéputés français ayant déclaré soutenir ces listes. Enfin,  1 h 30 supplémentaire est partagée en tenant compte des résultats des européennes de 2014, des présidentielle et législatives de 2017, et des sondages publiés entre le 24 avril et le 7 mai. Un calcul bien complexe ! 
Et ce n’est pas tout : le CSA a également établi l’ordre de passage des spots, répartis sur les dix jours de campagne officielle.
 
Les autres médias.
Les comptes des temps de parole — réglés au millimètre — ne valent ni pour les médias numériques, ni pour la presse écrite. Les  journaux papier sont donc libres de n’afficher en Une que quelques unes des trente-quatre listes voire de ne jamais parler de certains partis ! Pour les aspirants aux fonctions d’eurodéputé, ce sont des espaces médiatiques privilégiés pour gagner en visibilité sans pâtir des contraintes d’équité imposées à l’audiovisuel. 
Les campagnes “en ligne”, elles, restent toutefois très surveillées.  A l’heure où se multiplient les “fake news” et les accusations de propagande à l’encontre de certaines puissances comme la Russie, les autorités européennes et nationales ont demandé aux réseaux sociaux de prendre leurs responsabilités.  Ceux qui achètent de la publicité politique sur Facebook, par exemple, doivent désormais demander l’autorisation au réseau social. De plus, les informations sur l’acheteur, le public visé et l’agent dépensé pour ces publicités doivent maintenant être rendues publiques et rester consultables pendant sept ans. 

Les supports imprimés : un grand classique. 
Incontournables de toute campagnes électorale, le programme imprimé est également un outil pour gagner en visibilité et pour convaincre. L’exercice est lui aussi bien encadré : impossible par exemple, de reprendre le code couleur bleu, blanc, rouge du drapeau français. 
Enfin, 34 panneaux ont été installés par les mairies devant les écoles et les bureaux de vote pour y coller les affiches des listes de candidats. 
 
La coûteuse campagne.
Une utilisation intense de tous ces moyens de communication peut vite se révéler coûteuse. Les  directeurs de campagne doivent donc demeurer vigilants sur la stratégie a adopter car seules les listes ayant recueilli plus de 3% des suffrages le 26 mai seront remboursées de leurs frais de campagne. 
 
Cette période de campagne officielle prendra fin le 25 mai à minuit, veille du scrutin et même dès le vendredi 24 en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à Saint-Barthélemy, à Saint-Pierre-et-Miquelon, à Saint-Martin, et en Polynésie française, où les électeurs voteront le samedi.

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